Possible de poster des nouvelles ?

Ben non regarde Le Journal D'Aurélie Laflamme, La vie compliquée de Léa Olivier, Journal d'une princesse, et bien d'autres.

Alors oui, mais pas dans les romans de vie. Et celui-ci EST un roman de vie et c'est sencée être une fille qui écris dans son journal intime. C'est elle la narratrice.

Mais merci quand même.

Tigreremix: J'attends ta réponse avec impatience! ;)

merci de m'avoir donnée ton avis, je ferrais de mon mieux pour corriger tous sa ^^

PS: je suis contente de moi, d'habitude j'ai plain de fautes d'horto

Merci! Ca me fait énormément plaisir!!!

frenchement moi j'ai adoré ton premier chap et je file voir sur ton blog, ton style me plait bien et j'attent énormément pour la suite allais je passe sur ton blog

Salut tigreremix (et même les lecteurs et lectrices de cet article) , je voulais savoir ce que tu pensait d'un chapitre que j'ai écrit hier soir. C'est le premier chapitre d'une nouvelle série sur mon blog de fictions. Bonne lecture!

Cher Journal,

Aujourd'hui, je suis arrivée à Montréal. C'est une ville immense avec énormément de magasins. La vue de la fenêtre de ma chambre n'est pas du tout la même qu'au Canada... Mais bon, je vais bien finir par m'y habituer après tout... J'étais en train de déballer mes cartons lorsque ma mère a frappé à ma porte.

Elle: C'est moi chérie, je peux entrer?

Moi: Non.

Elle: Anna... (elle est entrée à ce moment la. AAAAAAARRG!!! Maman quand je te dis de ne pas entrer ça ne veut pas dire vas-y mais attend que je te réponde!!!) Tu ne pourras pas me bouder éternellement...

Moi: Dommage parce que c'était mon intention.

Elle: Tu sais très bien que ce n'est pas de ma faute si j'ai été mutée ici... Ton père aussi n'était pas enchanté... Mais c'est une occasion qui ne se présente qu'une fois dans une vie...

Moi: Et la mienne de vie? Tu y as pensé?

Sans attendre de réponse, j'ai fermé ma porte de force. Depuis qu'elle m'a forcée à déménager, je ne parle plus à ma mère. Bon, pour mon père ça ne change pas vraiment de d'habitude. Il n'est jamais présent dans ma vie. Il s'en fout. Donc, je m'en fous de lui. Logique non?

J'ai reçu mon nouvel emploi du temps ce matin. Demain je commence à 8 heures. C'est une grande école avec beaucoup d'élèves. Ca va changer de mon habitude d'école par correspondance. Il faut que je trouve comment m'habiller car je ne veux pas avoir l'air d'une déglinguée le premier jour... Je commence donc à chercher dans ma penderie. Pull? Non, c'est trop chaud pour un mois de Mai. Je vais transpirer et tout le monde va se rappeller de moi comme la fille qui transpire. En plus ça pue la transpiration. 

On re-toque à ma porte, ce qui me fait sursauter. Comme je savais très bien que ça ne pouvait pas être mon père (il ne vient jamais me voir si ce n'est pas ma mère qui l'y pousse ou alors si ce n'est pas quelque chose d'ULTRA IMPORTANT genre la fin du monde imminente.) , j'y suis allée franco.

Moi: Quoi encore?!

Ma mère entre genre "je me crois tout permis dans la chambre de ma fille".

Elle: Je me suis dit que tu te demanderais comment tu allais t'habiller pour le premier jour dans ta nouvelle école (sans blague?!) . Est ce que tu veux que l'on aille t'acheter une tenue toute les deux pour demain?

Moi: Mouais... (OUI!!!!!!!!!!)

Nous sommes donc parties toutes les deux dans les énormes centres commerciaux de Montréal. Comme ma mère ne connaissait pas Montréal, elle a pris une carte, et nous sommes arrivées en 30 minutes à pieds (notre maison se situe quand même pas mal près des commerces et je trouve ça plutôt bien) .

Nous avons fait pas mal de magasins et cela nous a permis de discuter un peu et donc de nous réconcilier. J'ai essayé des centaines d'habits!! A la fin, je suis repartie avec: une jupe en dentelle blanche de chez Promod, un tee-shirt tombant sur l'épaule avec marqué dessus: "Every day is a new adventure" marron clair de chez Kiabi, des bottines marron clair (mais un peu plus foncé que mon tee-shirt) de chez Eram, et une petite veste en jean qui vient de chez Cache-cache.

En rentrant à la maison, ma mère m'a dit qu'il ne faisait pas assez chaud pour mettre une jupe en dentelle sans rien en dessous et que cela faisait un peu vulgaire.

Moi: Maman! C'est que maintenant que tu me le dis?! Et en plus il fait super chaud!

Elle: Anna, tu ne veux pas plutôt mettre un collant noir en dessous?

Moi: CA NE VA PAS AVEC MA TENUE!!!!!!!

Elle: Pourquoi au lieu de t'en tenir à la mode des autres, tu ne créerais pas la tienne?

Sans commentaire. Je suis retournée dans ma chambre essayer mes vêtements devant ma glaçe. Puis avec un collant noir. Finalement ça ne fait pas si moche avec le collant...

Note à moi-même: Ne JAMAIS le dire à maman!

Voila est ce que ça vous a plû? Dites-moi tout, et aussi (surtout) si vous n'aimez pas! ;p

Bisous à toutes et à tous!

enfaite cette histoire es en court sur mon blog, j'espère que sa ne te dérange pas:

titre: princesse rebelle

chapitre 1: le rêve de ma vie

« Alerte, alerte »
   « Ne me dite pas qu’elle c’est encore enfuit, sa doit être la énième foi »
   « Hélasse, je m’excuse votre majesté »
   « Se n’est rien, vite, déployer la garde, retrouver la et ramener la moi »
   « Oui, majesté »
   Après ses mots le garde accouru alors que la reine resta au bau milieux de la pièce  «mais que vais-je bien pouvoir faire d’elle, un jour elle me tuera » dit elle après un soupire.
   Loin de l’agitation du palais un jeune homme d’environ 16 ans trottiné sur la route en rêvassons :  « il doive être en plaine recherche, heureusement pour moi il me trouvèrent jamais, n’es pas Didi » dit il en s’adressent à son chien, se jeune homme avais des yeux bleu claire, les cheveux jaune il porté une casquette, un peut maigre en aurais pensé,  des habille un temps soi peut usagé et raccommodé, enfaite comme presque tous les villageois, mais se qui étais étonnent c’est que personne ne savais d’où il venez, un jour il étais apparu comme par magie, il avais visité toute la ville,  et depuis quelque foie il reviens, « Didi, tu sais que j’ai horreur de se genre de cérémonie, heureusement que j’ai pus sortir, je sentais que j’allais explosais , j’imagine déjà la tête de mère, elle va me faire un sermon magistrale, mais franchement j’en est rien à faire…didi» il s’accroupit au niveau de son petit compagnon qui le léchât et aboya comme pour le soutenir, alors se dernier la serra très fort dans ses bras, oui c’était son seul ami, son seul confident, le seul à savoir son secret, et surtout la seul et unique personne qui sembler le comprendre.
   Le jeune homme passa toute la soirée dans le village, non, il ne voulu point rentré chez lui, non, mais cela il le savait lui étais impossible, mais c’était tellement !!!, se village, le bruit, l’agitation, les rires, les enfants qui court, tous sa le changer tellement, il adoré cette ambiance, se récital de voie,  le marché flamboyons ou tous le monde hurlé pour attiré la foule, ou les bouquet de fleur sauvage n’étais pas encore coupé ou changer, cette odeur qui émané des friandises simple qui se vendait ici et là, temps de chose qu’il n’avais encor jamais vus, jamais essayer, jamais gouté, oui, sa l’émerveiller.
    Après sa longue journée, l’adolescent marcha un peut jusqu'à arriver près du château, un soupire sortit de sa bouche, il partit dans les buissons sans se faire voir et de la il en sortit un sac dedans il avais une robe, ainsi que ses soulier !!!, qu’en il enleva sa casquette, de long cheveux firent alors leur apparition, oui vous l’aurais deviné se jeune homme n’étais autre qu’une jeune fille et pas n’importe la quelle, c’était la princesse de cette contré, après s’être changé, elle mis ses vieux vêtement usagé dans son sac :  « franchement je préfère mes vieux vêtement de garçon, aller viens Didi, l’heur est venu de recevoir le châtiment »
   Le chien aboie de mécontentement et mis ses pattes sur ses oreilles, sa maitresse lui sourie, « tu n’en fais pas trop là, en plus se n’est rien par rapport à demain soir, et puis c’est pas toi qui va assisté aux court à ma place » dit elle en ricanons, elle sortit du buisson pris son chien dans ses bras et s’avança vair les garde qui dès qui la virent se mettent au garde à vous, se qui la fis soupirais
   La Princesse avec un beaux sourire: « Stivène, Close, je vous ai répété mile foie de me traité normalement, en se connais depuis ma naissances, vous pourriez essayer….»
   Stivène et Close : « oui, princesse» sans aucun trais sur le visage
   Cette réaction la fis soupiré une deuxième foie, même si c’est ainsi à chaque reprise, elle espère toujours trouvé quelqu'un qui la traiteras telle qu’elle est, et non comme le titre qu’elle occupe, qu’en lui dissent leurs avis sans peur de la vexai, qu’en se fâche contre elle et qu’en le lui montre, elle en avais assez de ses mines fixes, de ses faux sourires comme se qu’elle est obliger de montré chaque jour, elle regarda les deux garde d’entré, mais cette foi son visage resta fixe aucune émotion ne se dessina sur ses lèvres. Et sans rien ajouté de plus elle entra dans le château, Liliana aperçu quelqu'un qui accouru vair elle, c’était Gorge, l’un des employer du château : « mademoiselle vous êtes enfin de retour, votre mère vous demande en urgence dans la sale du trône »
   La princesse : « j’y court »
   Elle partit se changer et alla vair sa mère en sachent se qui l’attendait, avent de franchir la porte elle prit une longe respiration, cette épisode elle le vivait sans arrêt c’était devenus comme quotidien, il faux bien avoué qu’elle n’était pas comme toute les princesses, elle se décida enfin à rentré.
   La princesse : « mère, je suis là, m’avais vous appelais » dit elle avec un visage d’enfant innocent qui n’avais en aucun cas qu’elle que chose à se reprocher
   Sa mère avec un air désespéré, énervé et mécontent : « combien de foie devrai-je te le répété Alexia, tu es une princesse, la future reine de se peuple, pendant des générations…. »
   Lila pensa : « et voilà c’est repartit pour un voyage dans le temps »
   La reine :  «nous descendant d’une grande lignée, nos ancêtres en étais les rois et rennes de se peuple..Et……………………………………. »
   Voilà tous se que Liliana entendit rien, en lui avais trop souvent récité le même dialogue épuisent qu’elle avait maintenant appris parqueur, tu ne doit pas rester ainsi, tu es une princesse, tes ancêtres son notre fierté, tu les déçois…ex…ex.
   Après une bonne heur de supplice pour les oreilles je fus envoyé comme à mon habitude dans ma chambre, punie mais j’en avais rien à faire je compté belle et bien me faire la belle, je m’assit devant ma fenêtre, pris mon chien dans mes bras et commença à lui parlé : «Didi, tu sais, je ne veux pas être une princesse et encor moins une noble, j’en est marre de cette vie, tous se que je veux c’est être comme toute les autres, à la fin c’est vraiment énervent, je voudrais me faire des amis, courir, rêver, ne pas avoir a fuir la maison, manger tous se que je veux» en dissent sa j’éclata de rire « se n’est pas que j’aime pas les plat du chef, si il entent sa il va m’en vouloir toute ma vie, mais vraiment des foi je voudrai seulement des plat simple, et pouvoir les dégusté avec quelqu’un, voir ma mère plus souvent qu’elle arrête de me remplir les oreille avec ses ancêtres, je n’est rien avoir avec eux», Didi me lécha la main se qui me fis sourire « oui, mon plus grand rêve, être comme toutes les filles, ne pas avoir à porté ses robes que je déteste, parler normalement, n’avoir aucun court de maintien ou autre, et surtout ne pas avoir à assister à ses réception aussi  pourrie les une que les autres, dire que demain je devrais parler avec ses aristocrate qui me fon bailler, et en plus je devrais leur sourire, et rire à leur blague stupide, oh, c’est trop chiant, (je pris une mine triste)parfois je me demande si sa ne serais pas bien de m’enfuir, de ne plus revoir cette maison», le petit chien commença à sauté dans tous les sens:  « c’est dommage, mais c’est impossible… aller, Didi, en est pas si mal comme sa, en plus avec mon déguisement je peut passé incognito, je te promet après demain dès que je me réveille en repart immédiatement en ville pour oublier la soirée, sa te va », Didi aboya comme pour dire oui, et il sauta dans les bras de sa maitresse qui alla se couchez, en attendent la journée de demain ou elle sera obligé de joué les filles modèle et de rester enfermé toute la journée en compagnie d’abruti qui ne pense cas une chose, la couronne, et ne savent même pas qui elle est réellement comme personne d’ailleurs, personne ne sais qui elle est.

fin du premier chapitre

je profite d'un moment de libre pour faire un tit coucou, moi aussi j'écris, je remercie tigremix pour m'avoir donner quelques infos pour un blog,pour le moment j'en suis a quatre petite histoires, et je compte bien en mettre une prochainement sur mon blog.

   ...amicalement.

Merci :) J'ai vu le concours, il faut juste que je trouve ce que je veux écrire avant de dire que je participe...

Hello ! J'ai (enfin) écrit quelque chose... Pour le moment ce n'est pas un roman, mais qui sait ? J'espère que ça ne dérange pas si je publie ça aussi sur mon blog... Dites-moi ce que vous en pensez !

Chère inconnue, 

Je vous vois passer tous les jours devant ma résidence. Vers sept heures, quand peu de monde est levé, vous vous promenez dans Paris, admirant tout ce qui vous entoure. A ce moment-là, vous êtes heureuse, je le vois sur votre visage radieux. Vous traversez ma rue, sans rien qui couvre votre tête ; pourtant, nous sommes en hiver, et le vent glacial du petit matin pourrait bien vous rendre malade. Prenez garde, chère inconnue. 

Je ne sais point qui vous êtes. Une jeune mariée, une campagnarde en vacances, une princesse enfermée ? La dernière option vous convient le mieux, bien évidemment. Je ne connais rien de vous : pas même votre âge, votre adresse ou votre famille. Rien. Mais j'aime à vous voir passer. Vous êtes un peu mon rayon de soleil d'hiver, qui éclaire ma journée dès le début. 

Vous habitez mes pensées, chère inconnue. Je me lève le matin en pensant à vous, et je m'endors le soir avec votre visage en tête. Vous êtes devenue, sans même le savoir, mon indéniable habitude du matin, depuis trois mois que je vous attends, que je vous guette chaque matin. 

Car vous êtes belle, mon inconnue, oui, vous êtes belle. Je suis laid, moi, et je vous envie cette beauté, comme j'envie celui qui la garde pour lui, s'il existe. Vous marchez lentement, avec vos cheveux qui voltigent et vos pommettes qui rosissent sous le vent. Votre sourire lumineux reste gravé dans ma mémoire. Vos yeux pétillent comme des bulles de champagne. Il fait froid. Il neige ou pleut parfois, mais jamais un parapluie ou un chapeau ne vous protège. Vous êtes libre. Vous rentrez vos mains dans les poches de votre épais manteau rouge qui vous va si bien. Comme j'aimerais pouvoir les réchauffer, vos mains glacées, je les prendrais, si fines entre les miennes si grandes... Comme j'aimerais vous faire découvrir autre chose que Paris, mes montagnes bien trop loin de moi, les rivières et les glaciers...Mais vous ignorez ma présence même. 

Je vous embrasse, chère inconnue.

X

Okay! Merci!

okay, tu as 13 ans?

Oui, je suis en 5e! Et cette histoire est basée sur la mienne! ;)

Ma nouvelle fiction:

Chapitre I:

Je le savais !! Je savais que je n’aurais jamais due suivre cette bande de gosses ! Et maintenant je me retrouvais face à mon prédateur aux yeux rouge qui se dirigeait vers moi : il allait me tuer, j’en était sûre.

C’est à ce moment là que mon téléphone sonna en cours.

« YOUUUUUU NERVER LOVE MEEEEEEEEEE !!!!!! 

- Merde !  dis-je

- Mademoiselle Maynard, veuillez me donner ce téléphone portable immédiatement ! »

Je le tendit à la prof de français qui le rangea dans son vieux bureau délabrer.

La fin des cours sonna. Je rangeais mes affaires et partit.

Il pluviotait mais cette chaleur insupportable restait tout de même présente. Je marchait sur le sentier qui longeait le parc. En cette saison, les arbres n’avais plus toutes leurs feuilles et les dernières qui restait était jaunies. Je parvint donc dans les vignes. Comme j’avais la flemme de contourner ces champs de raisins je paissait à-travers. En plus cela  me permettait d’en chopper un ou deux au passage. Arrivée sur les petits graviers je traversait l’espèce d’attroupement de maisons où je vivais. Ce qui était pratique c’est qu’en voiture il fallait contourner les vignes pour arriver jusqu’ici. C’était un coin tout tranquille où il n’y avait personne. Nous étions cinq maisons en tout. Moi j’habitait dans celle qui était le plus a droite. La où commençait le sentier pour aller vers Le Trou du Dragon. Cela m’importait peu il faut dire.

Je montait donc les marches pour me rendre à l’intérieur de ma maison. Je posait mon sac à main et me servait du Coca. Car en cette saison il fallait s’hydrater. Sûrtout dans le sud de la France comme ici.

« - Anaelle ! »   C’était Meg ; ma meilleure amie. Elle montait les marches et se trouvait maintenant devant moi.

« - Ha salut Meg ça va ?

- Ouai ça va merci. Ca te dit de venir avec Théo et tout les autres ? On va au Trou du Dragon ! »

Je détestait Théo et sa bande de copain débiles. J’était en 5^e et je ne vois pas pourquoi je devrait fréquenter des 6^e.  Mais bon, depuis que Meg sortait avec Théo, il était impossible de les séparer.

« - Meg ! Tu sais ce que j’en pense !

- Rooo aller sil te plaît ! Rien qu’une fois…

- Bon d’accord… »

Nous sortîmes de ma maison et nous dirigèrent ver le chemin terreux qui menait jusqu’au point de rendez-vous.

Mon rêve, ça serait de finir ce roman et qu'un éditeur le publie !

Voici la bonne version :

Elena Sylver

Ok, normalement c'est comme tu dis mais quand j'ai copié, ça à changé !

Elena Sylver

non je n'ai pas fini de les écrires mais ce sont plutôt des extrais....

http://pretresse-vampire.eklablog.com/-a98783071

Mes livres j'en ai 3

tu peux voir mes histoires en cliquant au dessus sur mon pseudo ^^

j'en ai plein d'autre en tête, d'ailleurs, faut que je m'y mette ^^'

moi je veux bien participer au concours (seulement si tu me fait gagner par contre =D )

Curieux de connaître ton niveau littéraire qui te permet d'apprécier ou non le style de ceux qui t'écrivent....

Excuse-moi je n'avais pas vue! ;)   Oui je veut bien participer.  Please.  <3

Hem... Ouai ça dépend... Quel concours?

Merci beaucoup! J'ai écrit le 2e chapitre. Il est sur mon blog //FERMER// les fanfinc de maba. Je te mets en perm 1 pour que tu puisse le voir car sinon il a un MDP! ;)

maba: ok xD :D

Perlez de mon histoire à vos amis comme ça il y auras beaucoup de gens qui la connaissent! ;)

Alice: ^^

lachouchoute: Il n'est pas encore ouvert  :/

Tigreremix: merci et ok!

peut tu mettre l'adresse de ton blog stp ??

okiiii :3

Lachouchoute: Merci! Je sais pas je m'ennuyait alors j'ai écrit ça...

Alice: Merci beaucoup! L'histoires seras bientôt dispo sur mon blog de fanfics! ;)

j'adore beaucoup ton histoire maba. Vraiment c'est bien ecrit et on veux savoir la suite c vraiment bien xD 

oui, ce que tu as écrit est très intéressant et je m'y intéresse car j'adore lire donc je m'interesse à tout !!

d'ou t'es venu l'idée de cette histoire ??

Merci beaucoup! ;)

Non... pas encore pourquoi? Ca t'interesse? ;p

ton texte as juste quelques erreurs d'orthographe mais à part ça il est génial, il a du mystère et tout, tu as vraiment du talent !! 

tu as écrit le chapitre 2 ???

 Titre: Direction la mer

Mélodie

Il faisait noir… Il faisait tout noir… Je n’entendais rien, je ne sentais rien. Comme si mon esprit était dans une perpétuelle inconscience. Je ne comprenais rien ! Où était-je ? Soudain une voix. Une voix rude. Directe. J’en avais presque mal au crâne. Il me secouait et j’ouvris les yeux d’un coup. Un homme chauve apparut. Et ses yeux… Ils ne semblaient absolument rien ressentir.

-Hé ho ! Ca fait 5 minutes que je t’appelle ! Dépêche, on doit être sur le pont dans 10 minutes.

Plusieurs personnes étaient comme moi sur des matelas complètement pouilleux posés au sol… Mais eux au moins avait l’air d’y comprendre quelque chose. En levant la tête je vit une lucarne de forme ronde très sale.

Les autres se levèrent et se dirigèrent verre une porte qui était au fond de la large salle. Ne comprenant toujours pas, je suivit leurs moindres gestes. L’homme s’apprêtait à ouvrir la porte lorsque la salle se mit a tanguer très fort, et nous fîmes tous projeter contre le mur qui donnait sur l’extérieur.

Les gens se redressèrent et repartirent en direction de cette fameuse porte. Ils avaient l’air d’avoir l’habitude…  C’est seulement quand l’homme ouvrit la porte que je compris que j’étais sur un bateau.  Tous prirent des serpillères et des sceaux, puis commencèrent a nettoyer le pont. Je ne comprenais toujours rien…  Soudain une voie rauque hurla sur le pont. Tous s’arrêtait alors je fit de même.

-Okay bande d’imbéciles on passe au travail !

Il lançât une corde à un garçon qui était à coter de moi et lui ordonna de faire ce qui l’avait à faire. Nous nous précipitâmes tous sur le bord du bateau pour le regarder. C’est dans un crie d’effroi qu’il ne parvint plus à échapper au terrible destin qui l’attendait… Les plus jeunes criaient, pleurait, mais moi je me contentait de regarder les flots avec effroi…

-Toi ! Cria l’homme du pont

Je me tourna et ne pu qu’étouffer un crie quand j’ai vue que c’était moi que son doigt horrible et dessécher pointait… Il me lança une corde. Je la prit et me mit debout sur le bord du bateau. Plusieurs me hurlait de me dépêcher. Je me résignait enfin et sauta dans les flots déchainés…

Direction la mer chapitre 1  -fin-