• Vos textes concours maison hantée

     

    Voilà tous les textes que vous avez écris. Le concours est maintenant clos, vous recevrez vos récompenses très bientôt ! 

     

    Vos textes sont super et je suis très contente de vous ! 

     

    Voilà donc les textes que vous avez écris... A chaque texte sa couleur (désolé j'ai choisi moi même les couleurs) 

     

     

     

    Liloub 

    Alice avançait en tête, la lampe torche à la main. De son autre bras, elle entourait la petite Lili, qui, enveloppée dans son manteau, grelottait de froid. Ses cheveux mouillés dégoulinaient. Ses lèvres avaient pris une teinte violette inquiétante. Thomas, Arthur et Maya lui demandaient constamment si elle allait bien. " Ça va " répondait-elle, mais à sa mine défaite on voyait qu'elle peinait à tenir debout. Les cinq adolescents s'étaient perdus dans cette forêt en début d'après midi. Ils étaient partis se promener et s'étaient aventurés un peu trop loin, là où il n'y avait plus ni chemin ni panneaux, et où les marécages surgissaient de l'ombre trop tard pour que l'on puisse les voir. Lili avait glissé dans l'un d'eux, et à présent, elle était trempée. Pour couronner le tout, la nuit tombait, et les cinq enfants n'avaient nulle part où trouver refuge. Thomas et Arthur essayaient le bras en l'air de capter du réseau, mais la barre de leur portable demeurait vide. " Merde " ronchonnaient-ils en chœur, puis se déplaçaient afin de tester un autre endroit. 
    La nuit était déjà bien avancée lorsque, éreintés, ils se retrouvèrent devant une immense villa, perdue au milieu d'une clairière. Les branches recouvraient le toit et le transperçaient de tous côtés, et la maison semblait abandonnée depuis des générations. Néanmoins, les cinq enfants retrouvèrent espoir : après toutes ces heures de marche parmi les ronces et les marécages, une maison abandonnée leur semblait un confort de luxe. Ils poussèrent la porte en toussotant : de lourdes couches de poussière s'échappaient de l'intérieur. Ils entrèrent dans une immense salle carrelée de marbre rose, recouvert de mousse et de toiles d'araignées. Ces fameuses arachnides qu'on trouve dans toutes les maisons, hantées ou non; se dit Arthur en frissonnant. Il haïssait ces bestioles. Leurs 8 petites pattes le répugnaient.
    Alice aida Lili à s'asseoir devant la grande cheminée qui trônait au fond de la salle, puis entreprit d'allumer un feu. 
    " Laisse, je vais le faire " dit Thomas en s'avançant. Maya les rejoignit auprès de la cheminée, se soufflant dans les mains pour les réchauffer. Arthur, quant à lui, était resté debout et admirait les grandes fenêtres qui bordaient le mur ouest. Cinq. Comme eux. Cinq fenêtres abandonnées, brisées, sûrement éreintées par leur long voyage à travers les âges. Elles étaient toutes ouvertes, sauf celle du fond, qui, même sous les coups de poing du jeune homme, demeura close. Il soupira et se remit à faire les cent pas dans la villa. Il ne supportait pas l’idée de passer la nuit ici. 
    De leur côté, Maya, Thomas, Alice et Lili tendaient leurs mains grelottantes vers le petit feu; ils essayaient d’ignorer Arthur, qui, d’une certaine façon, leur transmettait son angoisse. Ils s’assoupirent tous les quatre, blottis les uns contre les autres, laissant Arthur seul, à faire résonner ses chaussures contre le marbre. 
    Maya se réveilla la première. « Arthur ? » appela-t-elle. Seul le silence et le léger ronflement de Thomas lui répondirent. Arthur n’était plus là. Maya se leva avec inquiétude. Elle se dégagea de l’étreinte d’Alice et sortit dans la nuit, se frottant les bras pour les réchauffer. Des bruits inquiétants lui parvenaient. Le chant d’un hibou, le bruissement des feuilles, le hululement du vent, et autre chose. Comme un frottement exagéré de quelque chose qui traîne au sol. Maya, prise de panique, courut se réfugier dans la villa. Mais une ombre lui barra le chemin...
    Alice eut du mal à ouvrir les yeux. Elle avait dormi comme un bébé. Elle se dégagea doucement de la masse que formaient Lili et Thomas. Mais au fait, ou était Maya ? Elle regarda autour d’elle. Arthur et Maya avaient quitté la villa ! Ils étaient sûrement en danger. Alice empoigna sa torche et sortit. Le vent s’engouffrait dans sa veste, mais elle ne s’en préoccupait pas. Qu’importe qu’elle ait froid, très froid même, ni qu’elle ait peur... très peur : elle devait retrouver ses amis. Elle ne savait pas pour quelle raison ils avaient quitté leur refuge, mais la forêt, la nuit, était infestée de pièges. Elle alluma sa torche et parcourut les environs de son faisceau. Personne. Elle s’apprêtait à rentrer pour aller avertir Thomas et Lili, quand sa torche s’éteignit d’un coup. Elle sentit une piqûre violente sur son bras et vacilla...
    Thomas se réveilla en sursaut. Il venait d’entendre un cri. « Alice ? Maya ? Arthur ? » Ils n’étaient plus là. Seuls Lili et lui demeuraient au coin du feu. Où étaient donc leurs amis ? Son coeur se mit à battre la chamade. Il se leva brusquement et sortit. Il ne distinguait rien dans le noir, et il était certain qu’il n’y avait personne. Sa peur grandissait de plus en plus. Il se rappela que Lili était seule dans la villa et s’apprêtait à rentrer pour la rassurer, quand il trébucha sur une racine. Du moins, c’est ce qu’il crut. Une fois au sol, il vit la racine bouger, s’allonger... et le frapper en pleine poitrine...
    Lili avait froid. Le feu s’était éteint. Elle ouvrit les yeux, claqua des dents. Le manteau de Maya était toujours sur ses épaules, mais il était imbibé de vase et ne la réchauffait plus. Lili était ainsi plongée dans ses pensées, obnubilée par ses sensations corporelles, lorsqu’elle se rendit compte qu’elle était seule. Ses quatre amis avaient disparu. Son premier réflexe fut de hurler. Elle était peureuse de nature, et détestait se retrouver seule, surtout en pleine nuit. Elle sortit de la villa à petits pas silencieux. Et se mit à pleurer. « Alice ! Thomas ! Maya ! Arthur ! Ou êtes-vous ? » Des milliers de larmes ruisselaient sur ses joues. Entre deux de ses hoquets désespérés, elle entendit un grincement. Elle le reconnut parfaitement : c’était le grincement d’une des fenêtres de la villa. Elle rentra précipitamment. La fenêtre du fond s’était ouverte. Lili frissonna. « Non, se dit-elle, je n’ai pas peur, ce n’est qu’une fenêtre. » Elle prit son courage à deux mains et s’avança vers la vitre qui battait contre le mur d’un bruit sourd. Elle se pencha et scruta la pénombre. C’est alors qu’elle poussa un cri horrifié : en dessous de chacune des quatre fenêtres qui côtoyaient celle-ci, des corps étaient étendus. Elle les reconnut malgré le noir : Arthur, Maya, Thomas et Alice gisaient, les corps déchiquetés, une grimace figée sur le visage.

     

    Halloween the cat 

     

    l y a des choses qui doivent rester confidentielles quelques fois… Mais cette fois ci, j’ai eu si peur que je dois vous la raconter… 

    C’était avant Halloween, quelques jours avant qu’on m’adopte. Les copains et moi – Pepsi, Agrippine (La seule fille), Caramel, et Parfait- étions en train de découvrir le quartier, pour une centième fois environ.

    Mais ce jour ci, nous nous étions éloignés, de plus en plus loin, jusqu’à sortir de la ville. Il y avait un champ, vide, et plus loin, s’étendait une longue et vaste route. Les maisons étaient simples et bien rangées, mais l’une d’elles attirait mon attention. Elle était beaucoup plus grande et beaucoup plus éloignée des autres… Je contemplai un instant le panneau d’entrée de la ville … Je voulais entrer.

     -Hé, dis-je, pourquoi ne pas aller là-bas ?

    -Dans la maison toute noire ? Demanda Caramel.

     Caramel est un chat au pelage marron couleur caramel (D’où son nom), et aux grands yeux bruns.

     -Oui, là-bas.

    -Tu es fou Halloween ! Cria Pepsi, Tu ne connais pas les rumeurs sur cette maison ?

    Pepsi est le plus vieux d’entre nous. C’était une sorte de chef de bande, c’est un chat calme et courageux, et il à plein d’expérience. Son pelage noir abimé peut nous le faire comprendre.

    -Quelles rumeurs ? Demandai-je.

    -C’est une longue histoire, expliqua Pepsi, On raconte qu’il y a des années, Une femme vivait ici, avec un chat.

    -Flippant, Se moqua Parfait.

    Parfait se croit le plus « Parfait » d’entre nous, a cause de son « magnifique » pelage blanc et ses rubans, mais son caractère est très peureux !

    -Ce n’est pas fini, coupa Pepsi, Cette femme vivait depuis très longtemps dans la maison, encore plus qu’un humain normal…Comme une sorcière. Mais je vais expliquer comment les rumeurs ont naquit : Tout le monde voulait depuis bien longtemps raser cette vielle maison, mais la femme leur en empêchait, car c’était son seul foyer. Personne en ville ne la connaissait, on raconte qu’elle ne sortait pas de chez elle. Le chat qu’elle possédait, n’était pas le premier, et il ne vivait pas autant qu’elle. Elle changeait de chats…

    -Comment en as-tu la preuve ? Demanda Agrippine, terrifiée. Agrippine est la chatte la plus jolie et sympathique que je connaisse. Elle a un pelage roux, et blanc, et ses yeux sont d’un brun magnifique.

    -Parce que je connaissais l’un de ces chats, répondis Pepsi.

    -Et que lui est-il arrivé ? Demandais-je.

    Pepsi se tut.

    -Et qu’est-ce qui nous empêche d’aller voir ? Ca a l’air fun, dis-je.

    -On a qu’à voter, proposa Pepsi.

    C’est deux pattes contre trois que j’emportai ce vote. Les pattes de Parfait et Pepsi avaient voté non. Cela m’étonnait tant de lui… Alors on avança vers la grande maison, en écoutants les paroles terrifiées de Parfait… Encore aujourd’hui, regretter mon vote n’est pas si nécessaire. On entra dans la maison par l’une des nombreuses fentes de la porte. Je découvris la pièce : Elle était grise, comme tapissée de poussière (C’était le cas), mais si l’on enlevait cette couche, on pourrait y voir une magnifique maison décorée à la mode du 18e siècle, a mon avis. Il y avait des tableaux sur chaque mur, et devant nous, attendait un grand escalier. Je grimpai sans hésiter, mais je voyais que les autres avaient beaucoup plus de mal…

    Une fois en haut, j’entrai dans une pièce du couloir au hasard. Ça devait être la salle de bains. Les autres on décidé de se séparer, Agrippine reste avec moi, Caramel, précieux et Pepsi ensemble.

    -Dis, me chuchota Agrippine, tu n’as pas peur ?

    -Il n’y a rien dans cette maison qui pourrait faire…

    Soudain, un bruit ressemblant a un écoulement de je ne sais quoi retentit dans la pièce voisine, m’interrompant. J’accourus suivi d’Agrippine, trouvant devant moi, une vielle dame.

    Nous nous miment à courir pour échapper de ces griffes, mais elle nous attrapa et nous emmena dans sa salle. Elle nous enferma dans une cage, comme des oiseaux. D’ici, on voyait toute la pièce, du canapé usé à la lampe cassée. La vielle femme se remit à regarder la télévision, sans se préoccuper de nous. Un chat se tenait sur ses genoux. Il se leva et arriva dans notre direction. Ses yeux étaient d’un vert éclatant, encore plus que les miens, et son pelage était gris comme toute la poussière qui couvrait chaque endroit de cette maison. Il nous regarda d’un air mesquin, et se mit à nous parler :

    - Que faites-vous ici ? D’où venez-vous ? Êtes-vous seuls ?

    -Relâchez-nous ! Cria Agrippine.

    -Stop, lui coupa le chat, vous répondez à mes questions, point.

    Pendant que le chat parlait, la femme ne nous quittait pas des yeux, et je la fixais de même. Il comprit aussitôt que sa présence me dérangeait, et c’était aussi son cas. Elle partit du salon, et il regarda autour de lui pour être certain qu’elle n’était plus là.

    -Ecoutez-moi, vous n’avez plus beaucoup de temps. Cette femme est une sorcière, elle comprend notre langage et dans chaque pièce où vous irez, vous risquerez de croiser l’un de ses nombreux chats. Elle nous collectionne, et si vous ne voulez pas finir votre vie ici, écoutez mes conseils. Vous allez sortir de la cage lorsque je vais vous ouvrir, et ensuite vous partirez dans le même chemin que celui par lequel vous êtes montés. N’allez nulle part, ou vous croiserez l’un de ses chats, et croyez-moi, ils sont rares a êtres aussi gentils que moi. Sur ses mots, il ouvrit la cage, et nous le remercions, mais il était hors de question de repartir sans les autres. Mais c’est en descendant les escaliers que nous les avions trouvé, expliqué la situation et sommes partis le plus tôt possible.

    Pendant la route, J’adressai quelques mots à Pepsi :

    -Tu as vécu ici, c’est ça ?

    -Oui, Répondit-il, mais j’ai réussi à partir et c’est beaucoup mieux comme ça. Partons 

    C’est ainsi que je suis reparti plein de souvenirs de la maison au bout de la ville.

     

     

    Amme-Chan 

     

    Je m'appelle Souffle (oui, je sais c'est un prénom bizarre) et je suis une vampire de 99 ans (je suis vieille, pour les humains mais, pour les vampires, je suis une très jeune vampire). J'ai les cheveux noirs et les yeux violets qui brillent la nuit. Je ne suis pas timide du tout, et je me fais des amis rapidement. Ma vie, c'est de faire peur aux gens qui viennent chez moi (ma maison est une maison hantée donc les gens la visitent). J'ai oublié de préciser que je n'étais pas seule dans la maison. Il y a aussi : Un fantôme qui se nomme Peur (spécial non?), qui adore faire peur aux gens (normal c'est son boulot), une fille-chat qui s'appelle Niria, elle est tout l'inverse de moi, elle est très timide et ne sais pas se faire des amis, et un démon, Malow, qui est aussi très calme. Moi je vis ici depuis à peu près 10 ans, Peur depuis 6 ans, Niria depuis 4 et Malow cela fait seulement 1 an. Nous avons une petite envie de découvrir le monde, mais nous avons trop peur de partir, le monde est tellement grand ! Bon on arrête de parler, je vais plutôt vous expliquez comment notre cinquième amie (que je vous présenterais plus tard) nous à rejoins.

    -Souffle ! Il y a quelqu'un qui est devant la porte. J'ai senti sa présence. M'apprit Peur.

    -D'accord. Tout le monde, on se prépare !

    -Yes ! S'exclame Peur, tout content.

    -J'y vais, dit Niria.

    -Je te suis Niria, répondit Malow.

    Nous allons chacun dans notre pièce respective, moi dans le salon, Malow dans une des chambres, Niria dans la cuisine et Peur dans le grenier. Le truc, c'est que quand une personne vient dans une des pièces où quelqu'un est, on lui fait peur jusqu'à qu'elle parte. Et c'est comme ça tout le temps.

    La personne qui entre est une jeune fille aux cheveux roses et aux yeux rouges (je la vois par la porte mais elle, elle ne me voit pas car je suis invisible). Spéciale comme fille. Bah, je m'en fous en faite. Elle s'avance dans la salle où je me trouve. A moi de jouer. J e m'approche d'elle et je murmure :

    -Viens par ici, jeune fille. Laisse moi boire ton sang.

    La jeune fille n'a pas l'air d'avoir peur de moi. Elle dit :

    -Oh, une belle vampire.

    -Tu...Tu n'as pas peur de moi ?

    -Non. Laisse moi me présenter : Je m'appelle Mirage et je suis mage. Je maîtrise la magie des illusions. Je suis venue ici pour vous demander si je peux rejoindre votre groupe. J'adore tellement faire peur aux gens avec mes illusions  

    -Hum... Pourquoi pas ? Mais il faut que j'en parle aux autres avant de prendre une décision.

    Je me concentre et je dis par pensée : « Les gars, descendez au salon ».

    Ils arrivent.

    Au moment où je dis cela, Peur apparaît à côté de moi et je sursaute.

    -Peur ! Tu m'as fichu la trouille !

    -C'était mon but.

    -Méchant !

    Niria et Malow arrivent par la porte. Nous voyant tous réunis je leur explique la situation. Après l'avoir fait je demande :

    -Vous êtes d'accord tout le monde ?

    -Bien sûr ! Plus on est de fous, plus on s'amuse ! Déclare Peur.

    -Si tout le monde est d'accord...Dit Niria.

    -Pareil. Répond Malow.

    Je souris et je me tourne vers Mirage.

    -Bienvenue parmi nous Mirage ! Maintenant, on passe aux présentations. Moi je suis Souffle, et comme tu l'as dit je suis une jeune vampire de 99 ans.

    -Moi, c'est Malow. Je suis un démon.

    -Niria. Je suis une fille-chat.

     -Je m'appelle Peur. Je suis mort il y a 7 ans et je suis devenu un fantôme.

    Je reprends la parole : 

    -Toi on sait déjà qui tu es, je leur ai dit.

    -D'accord. Merci de m'avoir accueilli dans votre maison. Je ferais de mon mieux pour faire peur aux gens.

    Je souris.

    Et voilà l'histoire de notre rencontre !

    Bye Bye !

     

     


  • Commentaires

    6
    Samedi 3 Mai 2014 à 15:32

    Merci :) 

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    5
    Samedi 3 Mai 2014 à 15:29

    J'y été moins parce que je n'était pas en vacances xD !! Et oui, j'ai vu ton nouveau blog qui est super chouette !

    4
    Samedi 3 Mai 2014 à 15:28
    J'ai mon petit blog littéraire à moi tout seul maintenant (click sur pseudo pour le découvrir) !
    3
    Samedi 3 Mai 2014 à 15:27

    Je te vois moins qu'avant sur EB si tu préféres :)

    2
    Samedi 3 Mai 2014 à 15:26

    :/ Je ne suis pas plus absente ?!

    1
    Samedi 3 Mai 2014 à 15:23

    Je trouve cela dommage que tu sois plu absente sur EB ! J'ai mon petit blog littéraire à moi tout seul maintenant (click sur pseudo pour le découvrir) ! Personnelement, je voterai pour le texte de Liloub :) 

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