• Salut à tous ! vous n'êtes pas très nombreux mais ce n'est qu'un début ! 

    Voilà, je vous annonce l'ouverture de deux nouvelles rubriques :

    Déjà il y a la rubrique : "des livres à conseiller" --> pour y acceder, le lien se trouve à gauche dans le menu. Dans cette rubrique vous pourrez Vous même écrire des critiques. 

    Et ensuite, la rubrique "nouveaux talents" dans cette rubrique, vous pourrez postez vos manga, BD et romans !

    Bienvenue dans ces deux nouvelles rubriques ! A très bientôt !

    Tigreremix 


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  • Blog Jean-jacques Blondel 

    Résumé : Le narrateur (on ne connais pas son nom) a crée un blog qui parle de lui même. Seulement, il découvre que son père habituelement distant le lisait. Il décide donc de ne plus adresser la parole à son père.

    Celui-ci lui fait alors un don... D'une énorme boite qui regorge de ses journaux intimes, de ses photos, de ses publications dans des magasines...

    Le narrateur va se plonger dans le passé de son père et découvrir de grandes vérirités.

    Commentaires : Ce roman un peu trop court (seulement 114 pages) est vraiment très sentimental. L'histoire amène à la reflexion, et lorsqu'on est un ado, on se met vite dans sa peau et on comprend ce qu'il ressent.

    Un roman à lire pour les ados

    18/20gg

    + Un livre touchant et un personnage attachant 

    - livre trop court ! (100 pages ) 

     Toute copie complète ou partielle de mes dossiers est interdite ! 


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  • A 7h la pire invention du siècle sonna. Il était temps pour moi de me tirer du lit et de m’habiller.

    Comment m’habiller ? Chaque jour la même question apparaissait dans ma tête. Certes l’université n’est pas un concours de mode mais les jeunes traitent beaucoup d’importance à la tenue vestimentaire.

    Je piochai dans mon armoire ; un sweet vert kaki, un jean moulant et un bonnet vert et orange. Bien sur, je pris un slip, des chaussettes et un tee-shirt marron en dessous du sweet.

    Je me contemplai dans le miroir. Quelle classe ! Le bonnet vert et orange faisait particulièrement bien ressortir mes cheveux roux et plutôt longs. Quant à mes yeux verts émeraude, ils ressortaient aussi très bien !

                Quand je suis allé à l’université pour la première fois, j’ai été choqué : tout le monde puisse porter les vêtement qu’ils souhaitaient. En effet, plus petit, j’ai été dans des écoles, collèges et lycées privés où l’uniforme était obligatoire. Yeurk ! Ils étaient tous plus moches les uns que les autres ! En plus, ils n’étaient jamais confortables à porter ! Sois ils piquaient, sois ils collaient, sois ils grattaient !

     

    Je pris une petite douche en vitesse. Evidement, il y avait encore un problème dans la plomberie donc l’eau qui coulait était froide voire glacée !

    En tout cas, une chose est sure, dès que je vois le plombier, je lui saute dessus et je le menace de l’enfermer dans mes toilettes si il ne répare pas cette satanée douche !!

    Le plombier est un homme gras, vieux, pâteux, au crane rasé et un peu étrange. Il parle très rarement pour ne pas dire jamais ! Les seuls mots qui sortent de sa bouche sont :

    « Voilà, cela ferra cent euro s’il vous plait !»

    Où encore :

    « Je vais m’occuper de la douche »

    Et le plus souvent :

    « Mmmmmh…? »

    Bref, cet homme ne parle pas. Il a toujours la bouche fermée et utilise le trois quart du temps le langage des signes (qu’évidemment je ne comprend pas !).

     

                Pour le petit déjeuné, je me pris deux tartines à la confiture de fraise et un bol de lait. Le petit déjeuné est économique chez moi !

     

    Je glissai dans mon sac ; mon ordinateur, un petit classeur, un crayon et un calepin à dessin, me voilà prêt à partir.

    Je vérifiai trois fois si la porte de mon appartement était bien fermée avant de daigner sortir du seuil de ma porte.

    Je traversai les couloirs de deuxième étage en quatrième vitesse. Quand soudain je réalisai que j’avais oublié ma clef USB dans laquelle était précieusement rangée mon exposé pour aujourd’hui ! Je fis demi-tour et fonça vers la porte de mon appartement. Je glissa la clef dans la serrure et pénétra dans mon appartement plongé dans le noir. Où était cette satanée clef USB ? Je fis par la trouver deux minutes plus tard. Elle était sur mon terrarium où logeait Kafi mon serpent apprivoisé. Celui-ci siffla lentement de la langue en m’apercevant. Cela signifiait : « Ho je dors moi ! Laisse moi tranquille ! »

    En sortant une nouvelle fois de mon appartement, j’aperçu ma vielle voisine : Pétunia.

     

     

    Pétunia est une folle dingue qui ne pense qu’à deux choses :

    - faire le ménage

    - S’occuper de Kiki sa souris blanche

     

    Et justement, elle est en dépression nerveuse (tu m’étonne !) et est attentive au moindre bruit. Et vu le boucan que j’avais fait en cherchant ma clef USB, celle-ci ne devait pas être de bon poil.

    - Monsieur Simon ! M’interpela t-elle.

    J’eu la politesse de me retourner. Elle était toujours aussi moche que d’habitude ! Petite, toute courbée, les cheveux blancs coupés courts et elle possédaient des énormes lunettes qui masquaient son regard.

    - Monsieur Simon ! Vous faites un tel raffut que Kiki s’est réveillée et moi avec !

    -… Euh oui mais je… Commençais-je.

    - Il n’y a pas de « oui mais » ! Je vous rappelle que si je fais une dépression, c’est aussi à cause de voisins bruyants ! Sachez que je peux porter plainte au commissariat et…

     

    Je ne perdis même pas mon temps à lui répondre. Le temps qu’elle finisse sa phrase, j’avais déjà dévalé l’escalier et j’était dans le hall d’accueil.  Je pris mon courage à deux main et tourna la poignée de la porte .

     

    Je dévala la grande rue qui descendait jusqu’au métro. Il faisait sombre, et l’air était glacial. Les seules luminosités provenaient de boulangers ou de pâtissiers ; grâce à eux, il régnait une douce odeur de pain grillé.

    Toutes les secondes, un vent glacial soufflait et me glaçait le sang qui peinait déjà à couler dans mes veines. Mais ce n’était pas pire que les quelques gouttelettes de pluies qui tombaient à intervalles régulières dans mon cou déjà frigorifié.

    Mes poings étaient fermés dans mes poches pour essayer de se réchauffer…

    En vain…

    Une fois arrivé à l’escalier qui descendait jusqu’au métro, je fus soulagé. Certes, il ne faisait pas une chaleur hors du commun, mais la température était quelques degrés au dessus de dehors. Il ne pleuvait pas non plus, et il n’y avait pas de vent, ce qui faisait toute la différence.

     

    Après avoir passé mon ticket dans la borne (qui refusa trois fois d’accepter mon ticket sois disant périmé), je pénétra dans la gare peux fréquentée. Normal. Si tôt le matin, il n’y avait pas un chat. Les quelques personnes qui prenaient le métro étaient souvent des clochards, des voleurs, des psychopathes ! Bon bref, je ne vais pas m’attarder sur les détails mais disons que le métro est très mal fréquenté le matin.

     

    Une fois assis dans le métro, j’ouvris mon sac et en sortit mon calepin à dessin et un crayon. Du bout de la mine, j’effleurais à intervalles régulières ma feuille de papier, je dessinait.

    J’adore dessiner les mangas, il s’agit d’une fascination qui j’ai depuis ma plus tendre enfance. Mais ce que j’aime le plus, c’est de caricaturer une personne que je vois à la manga.

    Justement, dans le métro, il y avait un homme qui ressemblait vaguement à Omar Sy. Je le caricatura en prenant mon temps. Dès que je vis que cet homme descendit, je lui sauta dessus et lui présenta mon dessin. Il fut apparemment ravit que quelqu’un ai pu le dessiner. Pour le remercier de s’être laisser faire, je lui offris mon dessin. Il semblait tout joyeux.

    A croire que certaines personnes sont toujours joyeuses…

    L’homme me fit une rapide accolade et me salua d’un petit signe de la main tout en continuant d’observer son dessin. Comme si il s’agissait de la Joconde.

    J’aimais rendre les gens heureux. J’aimais qu’ils me sourient. 

     

    Une fois arrivé à ma station, je sortis de la gare pour me retrouver sous le perpétuel ciel gris de Paris.

    Je marchai en direction de l’université qui était de loin le bâtiment le plus imposant de toute la rue. 

     

    L’université était grande, spacieuse et moderne. De l’extérieur, elle était très carrée sur carrée. Elle était de couleur blanche. Un blanc neuf, comme si on avait posé la peinture il y a cinq minutes. Les fenêtres étaient disposées de manière très régulière mais de manière très jolie. Les fenêtres, c’était ce que je préférais dans les salles de classe. On pouvait y admirer une magnifique vue de Paris pendant un cours inintéressant. Il y avait tout autour de l’université, un vaste parc bien vert où les étudiants trainaient habituellement ; sauf que, vu le froid, ils avaient tous préférés se nicher dans le couloir en attendant la sonnerie.

     

    En pénétrant dans le couloir principal, je réalisai que je ne m’étais pas trompé ! Tous les étudiants étaient assis contre le mur et ils se pelotaient les uns sur les autres. Normal. Le radiateur est toujours autant détraqué. Ils étaient tous regroupés contre le seul radiateur qui marchait (un peu). Mais les places complètement contre le radiateur étaient très prises et certain en venaient aux mains pour avoir ces places là.

     

    Seul un étudiant avait préféré ne pas se mêler aux conflits et s’était assis à la place la plus froide. De l’autre côté du couloir, là, où aucun radiateur ne marchait.

    Il avait la tête légèrement baissée, on aurais pu croire qu’il dormait. Cet étudiant était brun. Les cheveux bouclés et emmêlés, il avait aussi de très grandes lunettes qui lui masquaient un peu son regard. Son menton était un menton rond, d’enfant…

    Je reconnu Sam, mon meilleur ami, mon confident, mon fidèle compagnon d’aventures…

    - Sam ! L’interpelais-je !

    Sam détourna son regard du sol et m’observa ; dès qu’il me vu, un sourire apparu sur son visage.

    - Simon ! S’exclama t-il de sa voix ténor. Bon anniversaire mon vieux !

    Inutile de lui préciser qu’il me l’avait déjà souhaité par téléphone. Mais bon, c’est l’intention qui compte… Par solidarité, je m’assis à côté de lui.

    - Quelle matinée ! J’en veux plus des comme ça, il fait froid dehors, vivement l’été !

    - L’été, on est loin d’y être mon vieux lui dis-je avec un haussement d’épaules.

    - C’est bien vrais ça… Au fait, je me suis dit qu’un petit cadeau te ferais plaisir ! déclara Sam en ouvrant son sac Easpak noir.

    Il avait prononcé cette phrase avec tant d’intérêt que je le soupçonnais d’avoir préparé cette phrase à l’avant dans sa tête.

    - Fallait pas !

    - Chaque année tu dis ça rétorqua Sam d’un air agacé, change de disque !

    Je pris un air bougon pendant que Sam sortit une boite recouverte d’un atroce emballage cadeau dont je soupçonnais Sam d’être l’auteur.

    - Joyeux anniversaire !

    Je pris la boite à deux mains et je l’ouvrit. Les cadeaux de Sam ne sont jamais trop mal. Le trois quart du temps ce sont des mangas et l’autre quart c’est quand il ne m’a pas acheté de cadeau sous prétexte que :

    « Je n’ai pas le temps en ce moment ! je croule sous les révisions ! mais je me rattraperais l’année prochaine ! »

    Tu parles ! Tout ça pour ne pas avouer que son porte monnaie est presque vide. Il me dirais la vérité que ça ne me générais pas…

    J’ouvris le paquet, il contenait… des BD… mais pas n’importes quelles BD ; que des BD que j’adorais ! Du genre troll de troys ou Star Wars en BD.

    Jamais Sam ne m’avais offert d’aussi beaux cadeaux ! Je le remercia du fond de mon cœur et rangea les précieuses BD dans mon sac.

    - Merci infiniment Sam ! Fallait pas !

    - Je savais que ça te ferais plaisir répondit celui-ci d’un air ravi.

    Nous passâmes le reste du temps à discuter de tout et n’importe quoi. Inutile de préciser, de quoi nous parlions, ça ne sert à rien.

     

    Lorsque la sonnerie retentie, Sam et moi firent grise mine, nous nous serrâmes la main, et nous partîmes chacun de notre côté.

    Nous n’étions pas dans la même classe. Un problème assez potentiel étant donné que l’on se retrouvait dans le parc, ou au réfectoire.

    Sam allait en chimie, moi en math. Cette matière est pour moi le truc le plus inintéressant au monde ! Pour une raison simple : je ne comprend rien. Mais quand je dis rien, c’est rien du tout ! D’ailleurs, je crois que je n’ai jamais rien compris au maths. Jamais.

    L’avantage d’avoir cours de math, c’est qu’il me permettais de m’améliorer en dessin en gribouillant des croquis sur mon cahier de dessin qui était censé être mon cahier de math.

    Lorsque je pénétra dans la salle de classe, je réalisa que j’était un peu à la bourre  car tout le monde était déjà en place… Sans dire un mot, je pris place au fond.

    L’heure s’écoula, interminable…

     

    Je réalisa un croquis super bien réussis de la prof. Cinq minutes écoulées.

     

    Je réalisa un croquis de la classe. Dix minutes de plus écoulées…

     

    Je pris une BD offerte par Sam et je l’a lu d’une traite. Trente minutes écoulées.

     

    La prof me remarqua en train de lire une autre BD et elle me menaça de m’exclure de son cours. (ce qui m’aurais gêné car j’ai besoin de quelques notes de maths pour l’examen de fin d’année. ) Cinq minutes écoulées

     

    J’attendis sagement la sonnerie, il ne restait que dix minutes… Cinq minutes… Une minute… Dix secondes… Neuf…Huit…Sept…Six…Cinq…Quatre… Trois…Deux…Un…

     

    La sonnerie retentie et tout les étudiants se précipitèrent dans le couloir. Maintenant, nous avions cours de Chimie ce qui était nettement plus intéressant. 


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  • Je hais les anniversaires. Tout particulièrement, les miens. J’en ai vécu vingt et un, alors autant vous dire que j’ai de l’expérience ! J’ai quelques étranges raisons de ne pas aimer les anniversaires. Déjà, on t’offre des cadeaux. C’est un point négatif étant donné que les cadeaux c’est pas toi qui les choisi. Donc, à tous les coups, tu vas te retrouver avec des parfums puants, des livres inintéressants et des trucs bizarres.

    Ensuite, si tu as la mauvaise idée d’organiser une fête pour ton anniversaire, tu vas te taper trente-cinq invités qui feront tout pour gâcher ta soirée. Ils seront là à parler affaires, santé, famille… peuvent pas décompresser ces gens là…

    Et surtout, tu vas devoir subir les : « joyeux anniversaire ! » lancés par tes amis d’université.

    Il y aussi un léger problème, a chaque anniversaire, ma mère me propose de monter à Paris pour me rejoindre dans mon appart afin de fêter mon anniversaire avec elle. Mais ce problème là est souvent réglé facilement avec une excuse bidon que seule elle avalerai !

    « J’ai un championnat d’athlétisme ce jour là » (je ne fais pas de sport)

    « Euh… Fred m’a invité à faire du camping » (il déteste ça)

    « Y’a une fuite dans l’appartement, je suis en plein dans le nettoyage ! » (Ca par contre, c’est crédible)

     

    Alors, cette année, j’ai décidé d’être tranquille dans mon appart et de décompresser lors du jour le plus pourri de l’année.

    En ouvrant ma boite au lettres ce matin, je suis tombé sur vingt-trois lettres et à peu près le même nombre de cadeaux. L’étape de l’ouverture des cadeaux allait commencer.

    Déjà, rien qu’en voyant la touche qu’ils avaient, je pouvais être sur que ça n’allait pas être top. Des petites boites. J’espérais avoir une chaine hi-fi (il faut dire que la mienne n’est plus en état de fonctionner) ou un ordinateur (le mien commence à dater). Eh non ! Ca allait être des trucs pourris comme d’habitude !

     

    Découragé, je me dis que j’allais les ouvrir plus tard. En attendant, j’allais pouvoir mettre mes notes de cours au clair sur mon antiquité (autrement dit, mon ordi). Je suis à l’université scientifique de Paris (je suis incapable de vous dire laquelle) tout ce que je sais, c’est qu’elle est super grande et qu’elle réunit des gens de l’Europe entière ! J’adore les sciences. Depuis tout petit, elles m’ont fascinées. Pour moi, notre cœur ne fait pas « boom boom » tout seul, il y a un truc.

    Alors, en sixième, j’ai appris par cœur mes leçons d’SVT afin d’avoir la meilleure moyenne dans ce domaine. Mes moyennes de SVT ne sont jamais descendues en dessous de 18,5.

    Je n’aimais pas le collège. Je n’aimais que l’SVT. Les autres matières, je m’en fichais. Elles n’étaient pour moi que des choses inutiles à savoir.

    Par contre, j’aimais le français. Ou plutôt les rédactions. Je réussissais particulièrement bien dans ce domaine. D’ailleurs, ma famille avait pensée que je prendrait bac L et non bac S. Elle pensait aussi que je me mettrai à écrire des bouquins… En vain… Je ne sais jamais quoi raconter dans un livre. On peut y mettre tellement de choses… Des histoires d’amour, de guerre, d’amitié, de fantastique, d’enquêtes…

    J’ai cesser de me remémorer mon passé dans ma tête

    Il était 5h25 et mon ordi venait de planter. Ca arrivait très souvent. Ah… comme je rêverais d’avoir un mac ; c’est d’après moi le plus bel ordinateur au monde. Design moderne, ne plante presque jamais et surtout, il n’attire pas l’attention des gens sur toi. Ils ne murmurent pas dans ton dos :

    « Eh ! Ma grand-mère elle a un ordi comme ça ! »

    « T’as vu l’ordi du mec ? »

    « Apparemment, il a une connexion internet mais j’y crois pas trop… »

     

    Il faut dire que mon ordi n’est pas beau. Il est d’une marque quasi inconnue et il ne paye pas mine. Il est d’un affreuse couleur jaunâtre (est-ce parce que je ne le nettoie pas assez souvent ?) il est petit mais très large. Et surtout, il manque une toute sur deux au clavier…

    Je l’ai surnommé : l’antiquité.

     

    A force d’avoir relus mes notes que un écran de mauvaise qualité, mes yeux étaient rouges. Aussi, je décidai de faire une pause.

    J’allai arroser mon petit bonzaï et lui couper quelques feuilles mortes. J’aimais aussi les arbres et la nature. J’adorais spécialement les baobabs. Malheureusement, il n’était pas donné à tout le monde d’avoir un baobab chez lui. Alors je me contentai d’un bonzaï.

     

    Après avoir passé une trentaine de minutes à humidifier, arroser, couper les feuilles mortes… J’étais crevé ! Je n’en pouvais plus ! Mes bras étaient en caoutchouc. Je ne pouvais plus faire quoi que ce soit. Je jetai un coup d’œil aux cadeaux ; puis à l’horloge.  Elle affichait 19h05 c’était trop tôt pour ouvrir les cadeaux ! Je ne m’en sentais pas capable !

    Mais, j’étais bien capable de regarder mes SMS de « joyeux anniversaire ». Normalement, il n’y en a pas beaucoup. Ce sont plus mes amis que ma famille qui vont m’envoyer des SMS. Sauf que des amis, je n’en n’ai pas beaucoup. Du moins, pas assez ; à part Fred, je n’aime pas grand monde. Je n’aime pas les gens. Je les trouve pathétiques ; les filles, elles entrent toute dans la catégorie « peste ».

    Je n’avais que trois SMS. Ils venaient tous du même destinataire : Sam.

     

    Premier message :

    Bon anniv’ !

     

    Deuxième message :

    Sadzhrttttjknl,jughbjkopiuhjkijn ( ??)

     

    Troisième message :

    Désolé pour le deuxième message, mon portable a bugée !

     

    Super… Trois messages pour ne rien dire. Mon téléphone non plus n’était pas d’une grande marque. Il devait être lui aussi d’une marque inconnue tant le design était moche !

    Il était blanc, il avait un minuscule écran et c’était limite si il ne fallait pas voir de loupe pour déchiffrer les SMS reçus. Les touches, elles étaient ben… comme les vielles touches de téléphone. Pour une touche, il y avait : 1 a b c . Du coup, si tu voulais le « c » il fallait cliquer trois fois sur la touche !

    Galère !

    Allez, il était temps de se jeter à l’eau. L’ouverture des cadeaux avait sonnée. Je ne pouvais plus y renoncer ; mais en voyant cet énorme tas de ferrailles (autrement dit, des cadeaux) je ne m’en sentais pas capable. Allez, il le fallait.

    Je m’approchai d’un pas lent, vers la pile de cadeaux qui encombrait mon appart ; et je déchirai rageusement le premier cadeau qui me tombait sous la main.

    A mon grand étonnement, c’était un truc… Bien ; un DVD. Un film qu’on était allés voir avec Fred mon cousin qui fichait vraiment la trouille !  C’était des extraterrestres qui prennent possession d’une fille… Trop bien ! Je devinai facilement que le DVD venait de Fred, c’était le seul qui m’offrait des trucs bien.

    Cela me donna du courage, et je pus avoir la force de me précipiter sur les autres cadeaux en espérant qu’ils seraient aussi bien !

     

                En fait, du côté famille, pas de changement, toujours aussi nul.

    J’ai eu plusieurs parfums qui puaient, des habits neufs (de ce côté je ne me plaint pas, je n’ai pas beaucoup de tee-shirt. Mais ils auraient pu en choisir des plus beaux). Il y avait aussi, pas mal de bouquins qui n’avais pas l’air terrible et quelques chaussettes. Il y avait heureusement des raisonnables qui avaient résignés à m’offrir un cadeau inutile, et qui m’avaient tout simplement offert un chèque. Je crois que le chèque est le cadeau parfait... Ce sera un peu d’argent mis de côté pour mon futur ordinateur.

     

                Je me fis un repas tout simple, histoire de ne pas m’énerver en faisant bruler ma cuisinière tout pourrie.

    Je fis de pâtes. Simple, rapide, bon… les pâtes sont devenues depuis quelque temps une sorte de régime, pour moi. Etant donné que mes économies sont un peu à sec, la seule possibilité qu’il me reste est d’acheter des pates en quantités.

     

                Maintenant, j’allais m’attaquer aux cartes. Elles étaient toues extravagantes comme si il était impossible d’acheter juste un bout de papier blanc et d’y marquer un petit mot. Non, il fallait forcément qu’il y ait un gâteau, un chat, une guitare… Et puis, les mots à l’intérieur n’étaient pas très élaborés… C’était souvent des : « salut ! ça va ? Bon anniversaire ! » Bref, rien de très spécial.

    Je n’ai eu jamais le cœur à jeter des lettres qui m’ont étaient adressées, alors je les garde précieusement dans un tiroir ou elles finiront par moisir à force de ne pas êtres relues…

     

                En allant me coucher, je réalisai qu’il me manquait un paquet. Celui de ma sœur. Ma sœur m’offrait à chaque anniversaire le meilleur cadeau de tout les temps.

    L’année dernière, son cadeau était une magnifique sacoche pour transporter mon ordinateur plus facilement. L’année d’avant, c’était un magnifique bouquin qui se nommait : Bonzaï : s’en occuper 50 conseils pour devenir un pro ! Ce bouquin m’a servit à m’occuper de mini baobab plus longtemps. Ah oui, aussi ; quasiment tout les objets de ma maison ont un nom !

    Par exemple, mon ordinateur, comme je déjà cité, se nomme “Antiquité“. Mon téléphone n’a pas vraiment de nom, mais je l’appellerais volontiers “ordure“. Quant à mon Bonzaï, son nom est : “mini baobab“.

    Mais il y en a plein d’autres ! Mon réveil se nomme “la pire invention du siècle“, ma télé “la chose inutile qui ne me sert jamais“

    Finalement, je ferma les yeux et me laissa partir dans mes rêves et songes…


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  • Hunger GamesSuzanne Collins

    Résumé : Dans les ruines des Etats Unis, se déroule un jeu télévisé, qui, chaque année designe au hasards un garçon et une fille de chaque district. (Les Etats unis sont divisés en douze district plus le capitole) qui vont devoir se battre à mort dans une arène contre vingt- deux autres adolescents des autres district. 

    Le but du jeu ? Faire en sorte qu'il ne reste plus qu'une seule personne dans l'arène.

    Katniss Everdeen et une petite vagabonde qui vit avec sa mère et sa soeur. Elle vit aux dépends de la forêt et de son ami Gale. 

    Mais voilà que viens le jour de la Moisson. Celui où on va décider qui va représenter le district douze lors des jeux. 

    Katniss sent la peur s'emparer d'elle lorsqu'on prononce le nom de Prim Everdeen.

    Prim est la soeur de Katniss. Et celle-ci n'a aucune envie de la voir se faire tuer aux jeux. Alors, elle se porte volontaire.

    Le garçon sera Peeta Melak un boulanger qui a à peu près le même âge que Katniss. 

    Les adieux envers les familles sont lourds. Mais Katniss part avec un but en tête : survivre, àtout prix.

    Les Hunger games ont commencés. Vingt-quatres candidats. 

    Seul le gagnant survivra !

    Commentaires : Ce livre est tout simplement fantastique ! Je l'ai dévoré en quelques jours ! On ne peux pas le lacher. Il est un des rares livres à avoir à la fois beaucoup de détail et de l'action. 
    A lire si vous dévorer les livres pleins de suspence.

    19/20gggg

    + suspence, action et des tas de détails !

    + impossible de lacher ce livre !! 

    Toute copie partielle ou complète de mes dossiers est interdite !


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